Il avait 6 mois et en était à sa 4eme bronchiolite consécutive avec pour traitement ventoline pendant une semaine, une semaine de répit et rechute.
J’ai expérimenté la kinésithérapie respiratoire lors de sa 3 éme bronchiolite qui m’avait conduite aux urgences et cela n’a pas empêché la rechute habituelle.

À la 4 éme bronchiolite, mon bébé etait faible, livide et avait cessé de sourire, il dormait énormément, de toute évidence, il était épuisé. J’ai compris qu’il fallait chercher une autre façon de le soigner. Sur les conseils d’une amie pédiatre ( qui n’est pas le médecin traitant de mes enfants), j’ai été faire une séance d’ostéopathie.
Mon fils est arrivé, respirant difficilement(j’étais à deux doigts d’aller aux urgences), cage thoracique immobile,abdomen gonflé, il sifflait. À la fin de la séance, son abdomen était de taille normale, cage thoracique mobile, suivant le mouvement respiratoire, il ne sifflait plus.
J’ai dû me rendre chez le médecin traitant deux jours après la séance ( pour un autre motif), il a constaté que mon fils n’avait aucun encombrement des bronches.

Je suis retournée chez l’ostéopathe 5 mois après la 1 ère séance suite à une chute de mon fils (qui a maintenant un an) et à un rhume qui commençait à se porter sur les bronches.
À l’issue de la séance, il respirait très bien.
M’étant rendu chez le pédiatre 3 jours après la séance, il a constaté que les poumons étaient complètement dégagés et qu’il ne restait qu’un rhume.

Je dois une reconnaissance infinie à ceux qui ont cherché, trouvé et qui soignent durablement les bronchiolites par ostéopathie.
Je suis soulagée et rassurée de savoir qu’en cas de besoin, le travail sur la structure du corps permet à la fonction de l’organe d’effectuer convenablement son travail.

Je suis attentive à ne pas donner trop de  » chimie » inutilement à mes enfants mais à chercher la cause pour résoudre le problème avec le maximum de bon sens possible et être en bonne santé de la manière la plus naturelle possible. De fait, mon bébé a été pendant 3 mois sous flixotide et voyant que les effets espérés n’étaient pas au rendez-vous, mon pédiatre traitant souhaitait prolonger le traitement de 3 mois, voire d’un an.
Aujourd’hui, mon fils a un an, il se porte à merveille sans flixotide ni ventoline et il est tout sourire !

Merci infiniment,

Solange