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Mots-clés : bronchiolite
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#1550 |
Bonjour,
Dès son entrée en crèche à 9 mois, mon fils a fait des bronchiolites à répétition (comme beaucoup d’enfants parisiens).
La réponse de la médecine conventionnelle : séances de kiné respiratoire, ventoline et traitement de fond à la flixotide (corticoïdes certes à petites doses mais pendant 6 mois de l’année !).
Sans compter quelques passages aux urgences, lors des crises sévères en pleine nuit, où lui ont été administrées de fortes doses de corticoïdes.
Et cerise sur le gâteau, la pédiatre m’informe que mon fils sera sans doute asthmatique !
Le désarroi des parents est grand dans pareille situation, la bronchiolite peut être grave, voir son enfant étouffer est insupportable, on se sent démuni et bien sûr le premier réflexe est de faire confiance aux médecins… sauf que le traitement proposé est, certes efficace à court terme, mais très lourd.Lorsque la pédiatre m’a parlée d’asthme, j’ai entrepris des recherches sur internet et découvert que l’asthme a des causes mécaniques, des blocages du squelette, et pouvait donc être traité par l’ostéopathie. J’ai emmené mon fils voir Karl Frederic Richard, l’un des praticiens de cette méthode permettant de soigner les affections respiratoires en ostéopathie, et j’ai stoppé tout autre traitement. Deux, trois séances pendant les mois d’hiver ont suffi. Mon fils tombait malade bien sûr mais les crises n’étaient plus aussi violentes, nous les gérions à la maison (avec parfois un peu de ventoline) et une seule séance permettait de libérer ses voies respiratoires, s’ensuivait une grosse toux grasse avant guérison. J’ai appris à reconnaître les signes corporels (accentuation du creux au niveau du thorax et ventre gonflé) pour anticiper et prendre rdv avant la crise (toujours obtenu un rdv très rapidement !).
Mon fils a bientôt 4 ans, il n’a aucun traitement et n’est pas asthmatique. Une séance d’ostéopathie avant l’hiver et 2-3 consignes à respecter (comme de ne pas porter l’enfant sous les bras) permet de corriger cette fragilité et éviter les complications.
J’aimerais témoigner ici de la difficulté en tant que parent de choisir pour son enfant des alternatives à la médecine conventionnelle, en effet le tout petit est très surveillé et encadré – pédiatres, PMI, personnel de crèche, etc. – autant d’interlocuteurs auxquels j’ai parlé de ce traitement salutaire et qui n’ont, au mieux pas voulu entendre, au pire m’ont traitée de folle irresponsable.
Avant : 1 dizaine de séances de kiné respiratoire, bouffées quotidiennes de ventoline et flixotide, 5 urgences respiratoires avec mise sous oxygène et corticoïdes
Après : 3 séances d’ostéopathie pendant l’hiver
…
Il est très dommageable pour la santé des enfants que les pédiatres ne soient prêts à prescrire des séances d’ostéopathie au lieu des séances de kiné respiratoire. Sans doute par manque d’information…
Je recommande à tous, parents, pédiatres, médecins, de s’informer sur cette méthode et tester… ça fonctionne !Merci à Karl Frederic Richard.
Rachel
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